Nous défendons celles et ceux qui font tenir le pays : les travailleurs et les travailleuses, personnels soignants, enseignants, aides sociales, ouvriers, employés, indépendants, paysans.
Le gouvernement Arizona leur complique la vie :
- il épuise celles et ceux qui travaillent,
- il punit les malades,
- il coupe les moyens aux soignants,
- il prive celles et ceux qui ont perdu leur emploi des revenus pour lesquels ils ont cotisés.
Or nous vivons reliés : quand une personne tombe malade, c’est une famille qui vacille, des collègues qui prennent plus de missions à leur charge, de la sécurité sociale en plus à mobiliser et de l’économie en moins qui tourne.
Une société heureuse n’abandonne personne. Nous avons toutes et tous intérêt à renforcer nos protections collectives, à commencer par la sécurité sociale. L’union fait la force.
Aujourd’hui, le projet Arizona installe le chacun pour soi :
- le travail est précarisé (flexi-jobs, travail de nuits, carrières rallongées, salaires limités) et sanctions quand la santé lâche ;
- les secteurs essentiels sont définancés (soins, petite enfance, enseignement, aide sociale…) et celles et ceux qui perdent leur emploi sont punis ;
- des milliards sont coupés dans le financement des secteurs publics alors que les épaules les plus larges sont moins mises à contribution.
Une autre voie est possible :
Faire contribuer justement les plus hauts revenus, investir dans les métiers essentiels, créer des emplois utiles (transition, soins, services) et investir dans la prévention pour éviter que les gens ne tombent malades.
Pour une société solidaire, humaine, protectrice et ouverte : nous serons dans la rue le 14 octobre.