Santé et environnement au cœur du nouvel épisode d’Askip

« Etre jeune, c’était mieux avant ? », Covid-19… autant de sujets à propos desquels de nombreuses informations, parfois fausses, circulent. C’est ce qui a amené Solidaris à proposer des rendez-vous santé sur des thèmes choisis afin de fournir une information de qualité pour permettre à toutes et tous de pouvoir s’informer et se questionner en toute liberté.

Askip, c’est le nom de ce rendez-vous santé proposé par Solidaris et qui a déjà abordé plusieurs sujets dont la vaccination Covid (A-t-on été trop vite ? Est-ce dangereux pour les femmes enceintes ? Quid des effets secondaires sur du long terme ? ….) ou encore la santé mentale des jeunes.

Depuis quelques jours, un nouvel épisode est disponible. Tourné en pleine canicule, il aborde le sujet de l’environnement au sens large, avec un focus sur le rapport entre santé et environnement, mais pas seulement.

Plusieurs questions y sont soulevées : Pourquoi ce sont les jeunes qui portent sur leurs épaules cette responsabilité climatique ? Comment comprendre que tous ne soient pas impliqués de la même manière ? Quels sont les liens qui ? Quels sont les liens qui existent entre climat et santé et finalement, qu’est-ce qu’on peut faire ? Qu’est-il souhaitable de faire et qui doit le faire ?

Responsabilité collective

« On y parle de responsabilité collective, d’engagement, de convergence des luttes et d’une réalité assez crue : la nôtre », explique Kevin Mauconduit du service communication de Solidaris.

« L’objectif de cet épisode d’Askip est avant tout de confronter les réalités des uns et des autres, pour montrer comment on va être amené à s’approprier telle ou telle lutte. Les problématiques environnementales sont centrales, et entretiennent un lien profond avec des problématiques de santé public. Le casting de cet épisode réunit Adélaïde Charlier, co-fondatrice du mouvement Youth for Climate; Maël Gerday, fondateur de l’ASBL Clean Walker Belgium ; Marie Furlan, étudiante en master sciences de la santé publique ; Brittany Fuque et Thomas Gilet (de la Maison des Jeunes de Namur), qui débattent librement de ce vaste sujet », conclut-il.